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Le Jeudi 22 octobre 2015 à 19:28

En attendant que les acteurs publics se parlent des expulsés dorment dehors


Après avoir été jetés à la rue par la police le 9 octobre, sur demande du conseil départemental de l’Hérault, une dizaine de personnes de feu le squat Lutopia 002 campent près du stade du père Prévost (Beaux-arts). Ni eau potable, ni électricité, juste quelques tentes prêtées par des particuliers. Maigre protection contre les premiers froids et l’humidité qui se glissent partout. Madjid, Lahcen, Raoul et Moze racontent leur quotidien mais surtout l’espoir de voir s’ouvrir avant l’hiver un nouveau squat. Treize jours après l’expulsion, la préfecture, le conseil départemental et la métropole n’ont pas commencé à seulement se réunir pour trouver une solution. La coordination Luttopia parle du « mépris envers les pauvres » de la ville de Montpellier. (1 810 mots)

Par Lucie Lecherbonnier

Le camp des expulsés de Lutpia 002 dans le quartier des Beaux-arts à Montpellier le 20 octobre 2015 (photo : Lucie Lecherbonnier)

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