S’appuyant sur des analyses d’eau pour démontrer l’impact environnemental de la décharge de la métropole de Montpellier, des riverains dénoncent un « non respect du cahier des charges » de l’installation. En cause : l’admission des déchets sortants de l’usine de méthanisation Amétyst. Une admission suspendue entre le 2 décembre et le 26 février par un « arrêté préfectoral de mesure d’urgence » émis quelques jours après l’annonce de l’ouverture de l’enquête européenne. Contactée par Montpellier journal, la préfecture s’explique. Métropole et exploitant restent silencieux. (3 290 mots)
par Lucie Lecherbonnier
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