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Le Jeudi 11 décembre 2014 à 11:26

L’impasse démocratique à 200 M€ de la gare TGV de Montpellier


L’acteur principal en est bien sûr le préfet Pierre de Bousquet de Florian, représentant de l’État, dont le logiciel semble bloqué sur une démocratie strictement représentative plutôt que réellement participative. Mais Philippe Saurel, président (divers droite) de l’agglomération de Montpellier et Damien Alary, président (PS) de région, sont de très sérieux seconds rôles. Le premier opère même depuis 6 mois un double jeu avec un bel aplomb. Sans oublier, bien sûr, Réseau ferré de France et Pierre Balandraud, le commissaire enquêteur. Ces acteurs sont pointés du doigt par les associations, certains élus et le collectif opposés à la nouvelle gare de la Mogère. (2 600 mots)

Par Jacques-Olivier Teyssier

Damien Alary, Pierre Bousquet de Florian, Karim Touati (RFF) et Philippe Saurel à la préfecture de l'Hérault le 22 octobre 2014 (photos et montage : J.-O. T.)

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(1) Auxquels il faut ajouter le prolongement de la ligne 1 de tramway (environ 40 M€) et les travaux d’infrastructures.

(2) Philippe Saurel, en conférence de presse sur les transports le 17/11, parle d’une mise en service de la connexion de la nouvelle gare avec la ligne 1 « entre 2017 et 2020 ». Un journaliste : «  C’est 2017 ou 2020 ? » Philippe Saurel : « Eh ben on verra. » Christian Fina, directeur général des service de l’agglo : « Ça dépendra de la fréquentation de la gare. » Philippe Saurel : « Ça va dépendre aussi de notre possibilité de rassembler des fonds. »


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