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Le Mardi 12 mars 2013 à 17:38

Une procédure de prélèvement ADN « disproportionnée » selon la cour d’appel


Giorgos, militant anarchiste, avait été placé en garde à vue lors d’une manifestation à Montpellier. Il avait refusé qu’on lui prélève ses empreintes génétiques. Poursuivi pour ce refus, il vient d’être relaxé par les magistrats de la cour d’appel de Montpellier. C’est un désaveu pour les policiers mais l’énergie à déployer et l’argent à dépenser par les citoyens pour ne pas être fichés, demeurent considérables. En 2012, le Fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG) contenait plus de 2 millions de profils de personnes dont une minorité correspondait à des personnes définitivement condamnées.

Rassemblement de soutien à Giorgos, militant CNT poursuivi pour refus de prélèvement ADN, le 22 septembre 2011 devant le palais de justice de Montpellier lors de l'audience de première instance (photo : J.-O. T.)

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