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Le Mercredi 28 octobre 2015 à 19:15

Quel avenir pour les intermittents de la recherche ?


Pas si simple de se former au plus haut niveau…pour risquer de finir au chômage. C’est pourtant ce que vivent, dans le secret de nos laboratoires, des milliers de chercheurs, ingénieurs et techniciens qualifiés et expérimentés mais remerciés après six ans de bons et loyaux services pour l’État. Six ans. La durée maximale durant laquelle un organisme public peut vous employer en CDD avant de vous titulariser… Ou de vous virer. C’est à Montpellier que sont nés le Collectif des chercheurs précaires et le mouvement Sciences en marche qui dénoncent le manque de moyens et l’absurdité du financement sur appel à projet. Et c’est la recherche française qui pourrait en pâtir. Quant au CNRS, il « botte en touche » selon les propres termes de son service de presse national (cf. le mail cocasse ci-dessous). (2 300 mots)

Par Lucie Lecherbonnier

Un bâtiment du CNRS à Montpellier (photo : DR)

Un mail du service de presse du CNRS envoyé par erreur à Montpellier journal

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